The Tales of Hoffmann - Part 55
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Part 55

CRESPEL (avec egarement).

Du sang Pour colorer sa joue!...

Une arme, un couteau!

(Il saisit un coutean et s'elance sur Hoffman.)

NICKLAUSSE (entrant et arretant Crespel).

Malheureux!

HOFFMAN (a Nicklausse).

Vite donne l'alarme, un medecin, un medecin!

MIRACLE (paraissant).

Present!

Il tate le pouls d'Antonia.

Morte!

CRESPEL (eperdu).

Ah, mon Dieu, mon enfant ma fille!

HOFFMAN (avec desespoir).

Antonia!

EPILOGUE.

(Meme decoration qu'au premier acte.)

(On retrouve tous les personnages dans la situation ou on les a laisses a la fin du premier acte.)

HOFFMANN.

Voila quelle fut l'histoire Des mes amours Dont la memoire En mon coeur restera toujours.

LE CHOEUR.

Bravo, bravo, Hoffmann.

HOFFMANN.

Ah, je suis fou!... A nous le vertige divin Des esprits de l'alcool, de la bierre et du vin A nous l'ivresse et la folie Le neant par qui l'on oublie.

NICKLAUSSE.

Ah! je comprends! trois drames dans un drame Olympia?

HOFFMANN.

Fraca.s.see!

NICKLAUSSE.

Antonia.

HOFFMANN.

Ah pour elle le dernier couplet de la chanson de Klein-Zach!

Quand il avait but de genievre et de rack If fallait voir flotter les pans de son frac Comme des herbes dans un lac Le monstre faisait flic flac Flic flac, Voila Klein-Zach.

LE CHOEUR.

Flic flac, Voila Klein-Zach.

LE CHOEUR.

Allumons le punch!... grisons-nous!

Et que les plus fous Roulent sous la table.

Luther est un brave homme, Tire lan laire, tire lan la!

etc., etc.

(Les etudiants entrent en tumulte dans la salle voisine. Hoffmann reste comme frappe de stupeur.)

LA MUSE (paraissant).

Et moi? Moi, la fidele amie Dont la main essuya tes yeux?

Par qui la douleur endormie S'exhale en reve dans les cieux?