The Tales of Hoffmann - Part 33
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Part 33

Silence!

HOFFMANN.

Le nom de la premiere etait Olympia!

(Le rideau tombe, pendant qu'Hoffmann parle a tous les etudiants attentifs.)

ACTE II

(Un riche cabinet de physician.)

HOFFMAN (seul).

Allons courage et confiance Je deviens un puit de science Il faut tourner selon le vent Pour meriter celle que j'aime.

Je saurai trouver en moi-meme L'etoffe d'un savant Elle est la, si j'osais.

(Il souleve la portiere.)

C'est elle!

Elle sommeille! Qu'elle est belle!

Ah! vivre deux! N'avoir qu'une meme esperance Un meme souvenir!

Partager le bonheur, partager la souffrance, Partager l'avenir!

Laisse, laisse ma flamme Verser en toi le jour!

Laisse eclore ton ame Aux rayons de l'amour!

Foyer divin! Soleil dont l'ardeur nous penetre Et nous vient embraser!

Ineffable desir ou l'on sent tout son etre Se fondre en un baiser.

Laisse, laisse ma flamme Verser en toi le jour!

Laisse eclore ton ame Aux rayons de l'amour!

Foyer divin! Soleil dont l'ardeur nous penetre, Et nous vient embraser!

Ineffable desir ou l'on sent tout son etre Se fondre en un baiser.

Laisse laisse ma flamme Verser en toi le jour!

Laisse eclore ton ame Aux rayons de l'amour!

(Nicklausse parait.)

NICKLAUSSE.

Pardieu... j'etais bien sur de te trouver ici!

HOFFMAN (laissant retomber la portiere).

Chut!

NICKLAUSSE.

Pourquoi?... c'est la que respire La colombe qui fait ton amoureux souci.

La belle Olympia... Va, mon enfant! admire!

HOFFMAN.

Oui, je l'adore!

NICKLAUSSE.

Attends a la connaitre mieux.

HOFFMAN.

L'ame qu'on aime est aise a connaitre!

NICKLAUSSE.

Quoi d'un regard?... par la fenetre?

HOFFMAN.

Il suffit d'un regard pour embra.s.ser les cieux!

NICKLAUSSE.

Qu'elle chaleur! Au moins sait--elle que tu l'aimes?

HOFFMAN.

Non!

NICKLAUSSE.

Ecris lui!